Mme Florica est la mère de Lacrima et la grand-mère de Marga et Donka.

Elle vit à Amara où Lacrima a grandi. Elle a 63 ans et est veuve.

Sa physionomie n'a pas de traits féminins exacerbés mais de ses Lacrima hérités,des seins dodus et un cul généreux.

D'Emilian son père,mort dans un accident de chemin de fer,elle a acquis sa belle peau de moka mais aussi une dose de vénusité.

J'ai compris,d'après la description,qu'il était un chal fier et beau dont Floarea est tombé éperdument amoureux.

Bien qu'elle soit une gitane moderne(elle a donné naissance à Lacrima son seul enfant à 29 ans)elle ne s'est jamais remariée.

Mme Florica me connaissait depuis longtemps,pratiquement depuis le début de mes visites à la tanière de gitans à Amara,mais le contact officiel,avec moi et la nature trompeuse de mes partenaires,s'est passé en un été...

La maison parentale est clôturée avec la propriété du couple Savoi et les visites mutuelles étaient à l'ordre du jour.

Je me souviens encore aujourd'hui avec plaisir de la première fois où j'ai mangé le saviac(une tarte au fromage)de Florica.

Les filles étaient sous la garde de la grand-mère,la plupart du temps pendant de longues périodes,même si les parents étaient à Amara ou à Slobozia.

...C'était en juillet il faisait très chaud pendant la journée et il faisait étouffant la nuit,de sorte que les matinées étaient une bénédiction fraîche.

Il était entre 6h30 et 7h du matin et Véronel s'était réveillée avec un désir brûlant dans l'aine.

C'était tôt mais d'une manière ou d'une autre nous avions tous un appétit fou.

Floarea est entrée naturellement,comme elle entre habituellement,dans la chambre de sa fille et de son gendre,mais cette fois j'étais aussi dans la chambre à eux deux.

Lorsque Floarea fait irruption,elle nous découvre dans la plénitude de nos facultés sexuelles.

Il a trouvé sa fille bien-aimée allongée sur le lit avec des lèvres pâteuses gémissant comme une truie,léchée dans la chatte par son mari agenouillé à la tête du lit.

Consternée,elle a regardé son gendre bouger son cul et me baiser avec f***e dans la bouche,m'étouffant pratiquement avec son pénis,alors que j'étais assis la tête appuyée sur le bord du lit.

-Oh Mon Dieu,que fais-tu ici,es-tu devenu fou?elle a pleuré.

Quand Lacrima sursauta comme si elle brûlait,Véronel justement ce qui déversa son amertume dans ma gorge.

-Mère,Maman,attends une minute Lacrima l'appela,courant nue après la femme qui venait de quitter la pièce avec dégoût.

Et le gitan c'est comme s'il n'arrêtait pas d'éjaculer,sans doute stimulé par la présence de sa belle-mère comme témoin sans doute plus désiré qu'indésirable et déversait en moi sans retenue sa chaude et abondante viscosité.

Les deux ont parlé seuls pendant environ une heure et demie et les choses se sont calmées.Mais depuis lors,Mme Florica m'a regardé avec des yeux différents.Et chez Véronel aussi.